Avatar

Affiche Avatar

Synopsis : Malgré sa paralysie, Jake Sully, un ancien marine immobilisé dans un fauteuil roulant, est resté un combattant au plus profond de son être. Il est recruté pour se rendre à des années-lumière de la Terre, sur Pandora, où de puissants groupes industriels exploitent un minerai rarissime destiné à résoudre la crise énergétique sur Terre. Parce que l’atmosphère de Pandora est toxique pour les humains, ceux-ci ont créé le Programme Avatar, qui permet à des  » pilotes  » humains de lier leur esprit à un avatar, un corps biologique commandé à distance, capable de survivre dans cette atmosphère létale. Ces avatars sont des hybrides créés génétiquement en croisant l’ADN humain avec celui des Na’vi, les autochtones de Pandora.
Sous sa forme d’avatar, Jake peut de nouveau marcher. On lui confie une mission d’infiltration auprès des Na’vi, devenus un obstacle trop conséquent à l’exploitation du précieux minerai. Mais tout va changer lorsque Neytiri, une très belle Na’vi, sauve la vie de Jake…

Époustouflant ! C’est le mot qui me vient en premier à l’esprit pour qualifier Avatar, le film-événement de cette fin l’année et que je suis allé voir en 3D cet après midi.

Avec Avatar James Cameron nous en met plein la vue, c’est le moins que l’on puisse dire. Après tout le battage médiatique, toute l’attente qui s’était formée autour de cette sortie, il faut avouer qu’on en ressort pas déçu, au contraire il est même difficile de s’extraire de cet univers lorsque la séance est terminée tant le monde visuel que nous propose Cameron est magnifique.

La frontière entre image de synthèse et prises de vues réelles a ici complètement disparu. C’est vraiment le premier film que je vois et qui à mon avis peut prétendre avoir franchi cet obstacle.

Les paysages sont magiques, somptueux, merveilleux, magistraux. La faune et la flore envoûtantes, multicolores, lumineux.

L’histoire est quant à elle originale tout en restant classique. On rentre facilement dedans et on se laisse vite prendre à s’attacher aux personnages. Les 2h41 que durent le film ne souffrent d’aucune chute de rythme et l’on sort de là avec la frustration que cela soit déjà fini…

Enfin les différentes scènes d’action et de combats sont elles-mêmes visuellement époustouflantes, à faire presque pâlir un Star Wars ou un Seigneur des Anneaux.

On regrettera cependant un pendant – pour l’instant insurmontable – lié à la technologie 3D utilisée actuellement : l’œil est obligé de suivre le focus de la caméra pour voir les images correctement. Pourtant il y a certaines scènes que l’on est tenté de parcourir des yeux à notre guise mais qui ne peuvent se révéler correctement. Au demeurant le film en 3D est très beau, la technologie permettant de rendre les profondeurs de champ de manière réaliste. Les visages des créatures, les scènes en pleine forêt, les scènes aériennes et les effets holographiques entre autres n’en sont que plus beaux.

Bref vous l’aurez compris : allez voir Avatar les yeux fermés… euh non grands ouverts plutôt !

  • Ma note : 4,7/5

Estimation

Estimation

From http://xkcd.com/612/

Supélec, 3 mois après – Épisode 4 : le Gala Supélec

Mais je m’aperçois avec effroi que je ne vous ai pas encore parlé de l’ÉVÈNEMENT, du RENDEZ-VOUS ultime de ce début d’année à Supélec : le GALA !

Si vous avez suivi mon blog vous aurez probablement remarqué ce post daté du 24 septembre 2009 et promouvant ledit GALA. J’espère bien que vous y êtes allé comme je vous le conseillait, sinon ben voici un arrière-goût de ce que vous avez raté.

Mais avant cela je voudrais vous présenter pourquoi la Gala c’est assurément l’un des évènements les plus marquant de la scolarité :

A peine remis des deux semaines d’intégration, voici les 2A qui nous annoncent que la préparation du Gala commence déjà (nous sommes alors mi-septembre) et que les n’1As sont partie intégrante et importante de cette préparation. « Ce Gala, c’est NOTRE Gala !! » car si pour tout ce qui a trait à l’organisation du gala en lui même c’est les 2As de la « GalaTeam » qui sont sur le pied de guerre, c’est en effet c’est nous n’1As, tous nouveaux arrivés, que revient la responsabilité de tenir les bars du Gala.
Les « bars » ? Ce sont les multiples stands disséminés dans l’école pendant le gala et qui proposent des cocktails divers et variés pour les participants à la soirée. Ces bars se chiffrent pour les n’1As giffois au nombre de onze (9 bars à Cocktails + 2 bars à « bouffe ») . Sachant qu’un bar c’est obligatoirement une équipe de 18 personnes (pas une de plus pas une de moins !) le compte est vite fait : il faut 198 n’1As surmotivés — soit environ 75% de l’effectif de la promo !! — et surmotivés tout de suite pour préparer le Gala qui aura lieu seulement 4 semaines plus tard !

J’étais évidemment partant pour une telle aventure et avais trouvé quelques personnes intéressées pour monter un bar.  C’est lors de la réunion de présentation pour la préparation du Gala organisée par les 2As que nous avons fusionné avec un autre groupe de motivés pour nous rapprocher de la taille critique obligatoire des 18 membres.
Ainsi naquit le « Bar à Cobama« .

Nous voici alors partis pour 4 semaines frénétiques, entre le bâchage de la Poly (salle polyvalente servant aux soirées entre autre) et les très nombreuses soirées et nuits passées en DécoG, c’est à dire dans ladite salle Poly à peindre les 20 tentures réglementaires par bar afin de décorer l’école pendant la soirée (d’où le bâchage, c’est à dire l’opération de recouvrir l’intégralité de la salle avec des bâches pour éviter que la Poly ne se retrouve dans un état multicolore digne des plus grand peintres abstraits mais qui ne plairait surement pas au propriétaire de la salle ^^).

La DécoG en action

La DécoG en action

Une autre tenture by the Bar à Cobama

Une autre tenture by the Bar à Cobama

Autres tâches, et non des moindres, trouver un menu, des cocktails, prévoir et préparer de la bouffe pour plus de 4000 personnes attendues, assister à des réunions de sécurité (car oui j’étais Respo Sécu dans mon bar), trouver des sponsors, élaborer et commander des polos personnalisés surstylés, et plus que tout : gérer une équipe de 18 personnes pour travailler efficacement.

A J-4 c’est le début des sessions cuisine pour préparer quelques 1500 crêpes : créneaux 22h – 1h dans les cuisines de la rez (sachant que les lumières s’éteignent à minuit ^^)

Session crêpes en cuisie après minuit

Session crêpes en cuisine après minuit

Premier plat de crêpes (ce n'est que le début)

Premier plat de crêpes (ce n'est que le début)

Vient alors (enfin !) le jour J-1, celui où la préparation de l’école à proprement parler commence : il faut monter le Bar, les tentures, rassembler les différents éléments nécessaires (Frigos, micro-ondes…), résoudre les derniers problèmes…

Montage du bar...

Montage du bar...

Montage d'autres bars

Montage d'autres bars

Le Cratère en cours de montage

Le Cratère en cours de montage

Le Cratère en cours de montage 2

Le Cratère en cours de montage 2

Le Cratère en cours de montage 3

Le Cratère en cours de montage 3

Le Cratère en cours de montage 4

Le Cratère en cours de montage 4

Et finalement le JOUR J, le vendredi 16 octobre 2009 : une journée complète pour transformer l’école de fond en comble, finir l’installation du bar, découper 1000 baguettes en 3 (pour les Hot Cobamas alias hot-dogs), aider le reste de la GalaTeam partout dans l’école, puis évacuer toute l’école (sauf les respos Bar et respos Sécu) pour le passage de la Commission de sécurité, retour de tout le monde pour les derniers peaufinages et enfin l’évacuation définitive avant ouverture du Gala.

Bar à Cobama : Backstage à quelques minutes de l'ouverture des portes

Bar à Cobama : Backstage à quelques minutes de l'ouverture des portes

Cocktails prêts

Cocktails prêts

Car il est alors près de 20h et c’est donc enfin le début de cette soirée pour laquelle on a passé tant de temps.

La suite en images :

Entrée du Gala

Entrée du Gala

Quelques minutes avant l'ouverture des portes, dans le cratère

Quelques minutes avant l'ouverture des portes, dans le cratère

La soirée débute avec un défilé de lingerie

La soirée débute avec un défilé de lingerie

Dans le Cratère

Dans le Cratère

Antoine Clamaran is on the tables !

Antoine Clamaran is on the tables !

Le Cratère

Le Cratère

Antoine Clamaran met le feu au Cratère

Antoine Clamaran met le feu au Cratère

Mais, pendant ce temps, le Bar à Cobama connait un succès comparable à Clamaran :

Le Bar à Cobama : succès assuré !

Le Bar à Cobama : succès assuré !

Et pour terminer :

Le Bar à Cobama

Le Bar à Cobama

  • Supélec 3 mois après : To be continued…

Supélec, 3 mois après – Épisode 3 : les Assoces

Les assoces, c’est d’abord ce qui fait que le taupin trouve un réconfort à trimer 2 ou 3 ans en prépa, car il sait que la récompense est double : un beau cursus et une vie en grande école clairement plus cool qu’en prépa.

Et – en tout cas à Supélec – les assoces présentes ne déçoivent pas ces attentes : il y a tellement d’assoces et clubs différents (cf : plaquette Alpha) que le dilemme est de choisir entre toutes.

Toutes les assoces étaient sur le pied de guerre pour se présenter à nous pendant les premières semaines : Barbecues tous les soirs des deux premières semaines organisés par des assoces différentes à chaque fois : c’est l’occasion d’entamer la discute, de faire de premières connaissances avec d’autres n’1A qui débarquent des quatre coins de la France et du Monde, et de s’informer sur les différentes assoces accessoirement aussi ^^

Viens alors la soirée des assoces qui regroupe la quasi totalité des clubs et assoces de Supélec sous le format d’un forum et qui permet de commencer à bien s’informer et de commencer à choisir quelles assoces on voudrait bien intégrer.

Pour ma part je me suis centré sur trois assoces en particulier :

  • pour commencer la LIMASS, alias le club d’improvisation théâtrale de Supélec-Supoptique, dans laquelle je me suis retrouvé sur un heureux malentendu 🙂
La LIMASS : Ligue d'Improvisation Moulonienne Alternative Supélec-Supoptique

La LIMASS : Ligue d'Improvisation Moulonienne Alternative Supélec-Supoptique

  • Ensuite le Rézo, tout simplement par intérêt (mon âme geek ne pouvait résister à cette tentation ^^). Le Rézo est l’association qui a la charge de l’ensemble du réseau des résidences étudiantes sur le campus, c’est à dire le raccordement à internet bien sur mais aussi une foultitude de services annexes ainsi qu’un SAV à toute épreuve.
Supélec Rézo

Supélec Rézo

  • Et enfin, the last but absolutely not least, j’ai nommé la Junior-Entreprise de Supélec :

J2S
alias
Junior Supélec Stratégie.

Junior Supélec Stratégie

Déjà repérée sur les plaquettes Alpha, cette association pas vraiment comme les autres – puisqu’elle propose des services aux entreprises mettant en œuvre le savoir-faire de l’école dans laquelle elle est implantée, c’est à dire des études réalisées par les étudiants de Supélec pour des clients – a un mode de recrutement sélectif.
En effet pour y entrer il est nécessaire de passer par un entretien individuel testant la motivation ainsi qu’un entretien de groupe testant l’aisance à débattre et à s’intégrer dans un groupe de décision.

Ma motivation était très grande d’avoir l’opportunité d’être dans une structure semi-professionnelle, c’est pourquoi j’appris avec grand plaisir que j’étais pris à la JE et que le week-end suivant est consacré au WEIF ou Week-End d’Intégration et de Formation. Celui-ci s’est déroulé les 3 et 4 octobre 2009 sur la base de loisir de Bois-le-roi, près de Fontainebleau.
Au programme : formations intensives sur les différents aspects du fonctionnement de la JE puis activités et détente ensemble permettant de faire rapidement connaissance avec l’équipe d’environ 40 administrateurs que nous sommes.

Photo de groupe J2S au WEIF

Photo de groupe J2S au WEIF

WEIF J2S : Formations intensives

WEIF J2S : Formations intensives

Le week-end c’est terminé sur un accrobranche vachement sympa.

WEIF J2S : Accro-branches

WEIF J2S : Accro-branches

Au final je suis donc effectivement dans trois assoces dont deux qualifiées de « grosses » ce qui achève de combler mon emploi du temps : le mercredi soir étant consacré au Rézo, le jeudi soir à l’impro et le reste (plus ou moins ^^) par J2S.

Voici pour preuve un exemple d’emploi du temps typique me concernant :

Agenda semaine 50

Bref voilà justifié le peu de temps que j’arrive à consacrer à autre chose qu’à des activités liées à Supélec.

Supélec, 3 mois après – Épisode 2 : La séquence 0

La séquence zéro : késako ? La séquence 0 c’est les deux premières semaines après la rentrée aménagées par la direction des études pour d’une part temporiser la mise en place des structures d’élèves (Voies, Séries, Groupes, choix des électifs, tests de langues…) et d’autre part nous occuper pendant ce temps en TDs, cours, ateliers divers (« Devenir ingénieur », « Acteurs de l’entreprise », « Les dangers de l’électricité »…).

Deux choses à noter : l’opportunité d’effectuer une visite d’entreprise (chez Sagem Défense Sécurité pour ma part) et l’obligation de présenter en trinômes (aléatoirement choisis) une réflexion structurée que le thème « Devenir ingénieur ».
La visite est relativement intéressante (quoique d’intérêt très variable en fonction de l’entreprise qu’on a à visiter apparemment), et le travail en groupe dans lequel on ne se connait pas encore est aussi enrichissante.

Bref la séquence 0 c’est simplement une séquence tampon avant de rentrer dans le vif du sujet et le déroulement normal de la scolarité.